Ribwarmer suite et fin.
J'ai une tunique que j'adore
Mais rien qui va avec... Et elle est un peu légère à porter en hiver juste comme çà.
Pour la réchauffer un peu (enfin surtout moi, ne soyons pas stupides!), il y a quelques temps j'avais commencé un ribwarmer, modèle de la vénérée Elisabeth Zimmerman...
Le voici juste tombé des aiguilles :
La bête se tricote en 2 parties : la droite puis la gauche (ou inversement) en point mousse, rangs normaux ou raccourcis. On les assemble ensuite par une couture dans le dos. Jusque là ok. Simplicité enfantine.
Il faut ensuite (si on veut), border le tout avec la fameuse technique du i-cord. J'ai voulu.
C'est un peu long mais il faut reconnaître que le rendu est vraiment sympa. J'ai donc fait tout le tour (with une boutonnière), les manches (enfin, les trous pour les bras...) avec l'immense satisfaction d'avoir appris un nouveau truc...
Puis, seulement après tout çà, je me décide à l'essayer...
Affreux.
Les rangs raccourcis du devant font pocher l'avant (ben oui, du coup), au niveau du ventre donnant la subtile impression que j'ai les seins qui tombent au niveau du nombril... (sur la photo, les traits violets = niveau normal, traits roses = poches suspectes).
Pas mettable.
Nan pasque les seins qui tombent, j'aurais du mal à assumer, mais en plus j'en ai déjà des qui tombent pas. J'imaginais déjà les regards de travers, les remarques des enfants "Hé maman, pourquoi elle a 4 doudounes la dame?" Claaaasse!
Oui mais, Elizabeth Zimmerman c'est quand même la légende du tricot (je dis pas mythe parce qu'avec le tricot, vous admettrez que c'est déplacé). Impossible que je me sois plantée dans le simplissime modèle (ou alors j'ai le Q.I d'une bernique au mois d'août, à marrée basse)...
Je me lance donc dans le "blocage" (en gros, pour les néophytes comme moi : on mouille le tricot, on lui donne la forme qu'on veut et on le laisse sécher en l'état...)
Et là, ô wonderful surprise, la laine (lis bien Pauline, c'est la même pour ton pull, tu sais, celui qu'avance pas), devient (après avoir déteint), toute douce, toute souple (et à mon avis, c'est qu'un début).
Joie!
Me voilà donc dotée d'un p'tit gilet sans manche réchauffe-cotelettes du plus bel effet.
(détail de la boutonnière et de la bordure en i-cord... et du magnifique bouton en terre cuite en provenance d'Afrique du Sud)
Mais rien qui va avec... Et elle est un peu légère à porter en hiver juste comme çà.
Pour la réchauffer un peu (enfin surtout moi, ne soyons pas stupides!), il y a quelques temps j'avais commencé un ribwarmer, modèle de la vénérée Elisabeth Zimmerman...
Le voici juste tombé des aiguilles :
La bête se tricote en 2 parties : la droite puis la gauche (ou inversement) en point mousse, rangs normaux ou raccourcis. On les assemble ensuite par une couture dans le dos. Jusque là ok. Simplicité enfantine.
Il faut ensuite (si on veut), border le tout avec la fameuse technique du i-cord. J'ai voulu.
C'est un peu long mais il faut reconnaître que le rendu est vraiment sympa. J'ai donc fait tout le tour (with une boutonnière), les manches (enfin, les trous pour les bras...) avec l'immense satisfaction d'avoir appris un nouveau truc...
Puis, seulement après tout çà, je me décide à l'essayer...
Affreux.
Les rangs raccourcis du devant font pocher l'avant (ben oui, du coup), au niveau du ventre donnant la subtile impression que j'ai les seins qui tombent au niveau du nombril... (sur la photo, les traits violets = niveau normal, traits roses = poches suspectes).
Pas mettable.
Nan pasque les seins qui tombent, j'aurais du mal à assumer, mais en plus j'en ai déjà des qui tombent pas. J'imaginais déjà les regards de travers, les remarques des enfants "Hé maman, pourquoi elle a 4 doudounes la dame?" Claaaasse!
Oui mais, Elizabeth Zimmerman c'est quand même la légende du tricot (je dis pas mythe parce qu'avec le tricot, vous admettrez que c'est déplacé). Impossible que je me sois plantée dans le simplissime modèle (ou alors j'ai le Q.I d'une bernique au mois d'août, à marrée basse)...
Je me lance donc dans le "blocage" (en gros, pour les néophytes comme moi : on mouille le tricot, on lui donne la forme qu'on veut et on le laisse sécher en l'état...)
Et là, ô wonderful surprise, la laine (lis bien Pauline, c'est la même pour ton pull, tu sais, celui qu'avance pas), devient (après avoir déteint), toute douce, toute souple (et à mon avis, c'est qu'un début).
Joie!
Me voilà donc dotée d'un p'tit gilet sans manche réchauffe-cotelettes du plus bel effet.
(rangs raccourcis)
(détail de la boutonnière et de la bordure en i-cord... et du magnifique bouton en terre cuite en provenance d'Afrique du Sud)